Koregraf est cité dans l’article « Quand la finance participative met son casque de chantier » des Echos paru le 28 septembre 2018.
Cet article des Echos dresse un état des lieux du crowdfunding immobilier et des perspectives de ce secteur en forte progression.
De nombreux projets et des réticences qui s’estompent
De plus en plus d’investisseurs ont franchi le pas et sont satisfaits de leurs placements. La documentation exhaustive, le choix dans les projets ainsi que la régulation des acteurs par les autorités financières (AMF et ORIAS) permettent aux investisseurs de mesurer les risques liés aux placements proposés.
La croissance du crowdfunding immobilier ne cesse d’augmenter fortement depuis 4 ans : ce type de financement participatif représente désormais 42% des collectes des plateformes de crowdfunding, soit 110 millions d’euros, avec une croissance de 70% sur un an à la fin du premier semestre selon le baromètre de Hellocrowdfunding.
Les rendements entre 8 et 10%* proposés par le crowdfunding immobilier en font un produit financier attractif. La durée de placement relativement courte, entre 12 et 24 mois permettent aux investisseurs de ne pas bloquer leur épargne trop longtemps en comparaison avec d’autres produits financiers.
Un levier de croissance pour les promoteurs
Le financement participatif immobilier permet aux promoteurs de lever plusieurs centaines de milliers d’euros et de subvenir à leurs besoins en fonds propres importants lors de leur développement.
Selon Vincent Sillègue, fondateur de Koregraf, le crowdfunding va jouer un rôle croissant dans le financement de la promotion car la régulation bancaire va forcer les banques à davantage de prudence: » D’ici à 2020, les banques risquent de demander aux promoteurs immobiliers d’augmenter de 50% le montant de fonds propres qu’ils apportent pour pouvoir réaliser une opération de financement. Dans le pire des scénarios, les petites promoteurs vont être en difficulté. »
Sélection rigoureuse des projets proposés nécessaire
Les défauts des projets du groupe Terlat ont été une piqûre de rappel importante pour les investisseurs. Le crowdfunding immobilier reste un placement à risques, soumis aux aléas techniques et juridiques qui peuvent allonger la durée d’un chantier, voire faire que le projet n’aboutisse pas.
Il est capital que des critères de sélections et d’audit rigoureux soient appliqués par les plateformes, à la fois au niveau de la maison mère du promoteur, et au niveau du projet en lui-même. Enfin, la qualité et la compétence des intervenants dans ces comités de sélection est cruciale.
Retrouvez l’intégralité de l’article sur les Echos
* Facteurs de risques : Koregraf recommande aux épargnants d’appliquer des règles de vigilance avant tout investissement. L’investissement dans des projets immobiliers comporte des risques qu’il convient de connaître : risque de perte totale ou partielle du capital investi, risque d’illiquidité et risque opérationnel du projet pouvant entraîner une rentabilité moindre que prévue. La société Koregraf, spécialiste en crowdfunding immobilier, est enregistrée en qualité de Conseiller en Investissements Participatifs auprès du Registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance (ORIAS) sous le numéro 15006930.
